Ensemble, se réaliser.

Comme ça a été le cas lors de mes études, mes collaborateurs sont majoritairement masculins et j'ai parfois été la seule femme dans mon équipe. Alors, les filles, lancez-vous !

BeCommerce est l’ASBL qui contribue à la confiance des consommateurs dans l’e-commerce par un processus de labellisation formel de sites e-commerce. Grâce à la certification, aux scans de sécurité et aux évaluations des consommateurs, BeCommerce participe à la croissance du secteur du commerce digital. BeCommerce réalise aussi des campagnes de sensibilisation, d’informations, de connaissance et de promotion.

Après ce bachelier, je savais que je voulais continuer mes études pour me spécialiser dans un des aspects de l’e-Business découvert à l’EPHEC. J’ai donc cherché et trouvé le master de Business Analyst en alternance, organisé par l’ICHEC et l’ECAM. Ce master se trouve être dans la parfaite continuité du Bachelier e-Business et ne nécessitait pas d’année passerelle.

Formée à HEC Liège, j’ai eu la chance de tomber dans le digital à Londres. De marketing manager à chef de projet en agence, j’y ai appris le béaBa du digital et j’ai pu suivre les prémisses de l’eCommerce en Europe. J’ai ensuite travaillé pour un des leaders eCommerce en Belgique pour revenir en agence spécialisée eCommerce. Je suis maintenant professeur à temps plein à l’EPHEC mais continue de rester informée et à jour dans le domaine.

Mais la Haute École peut aussi, avec ses cours dans des petites classes, être une étape rassurante entre les études secondaires et l’université. J’ai découvert avec bonheur un enseignement personnalisé, proche des élèves qui ne sont pas des numéros. Beaucoup de travaux de groupes nous permettent de nous dépasser et je suis très fière d’avoir cette année créé une entreprise fictive. Je suis prête pour créer la mienne ! Avant de me tourner vers l’EPHEC, je me suis inscrite à l’Université Saint Louis car c’était une suite logique par rapport à mes études secondaires en latin-grec. Malheureusement le système universitaire ne m’a ni convaincue ni satisfaite et je me suis tournée vers l’EPHEC, école de commerce, qui propose également un cursus en droit.

De plus, le rapport étudiant/professeur est facilité par le fait qu’un certain nombre de cours sont donnés en petits groupes. Le dialogue avec le corps professoral est donc plus aisé. Ce qui me plaît également, c’est la structure de moyenne taille de l’école. Tous les étudiants des divers départements sont rassemblés en un seul et même bâtiment. Enfin, les cours que nous suivons nous demandent des préparations et des travaux tout au long de l’année, ce qui permet à l’étudiant de travailler régulièrement et de s’approprier la matière en fonction de l’avancement des cours.

Ayant doublé deux fois en secondaire, j’étais en perte de motivation et j’avais la sensation d’avoir perdu du temps. J’avais donc besoin de sécurité et la perspective d’acquérir un bachelier à l’EPHEC permettait deux choses : pouvoir travailler ou continuer les études. Ce qui m’a plu à mon arrivée à l’EPHEC, c’est l’orientation pratique des cours. Assister à un cours uniquement théorique m’ennuie et c’est la possibilité de pouvoir aborder le droit d’une manière pratique, avec beaucoup d’interactivité et de travaux, seul ou en groupe, qui m’a fait aimer à la fois la matière et cette Haute École. On est très loin du cliché « le droit, c’est du par cœur ».

Certaines allient la rigueur juridique et le travail collaboratif, comme le travail d’analyse d’une proposition de loi en Méthodologie & TP droit; d’autres sont plus personnelles et exigent une prise de recul et une analyse réflexive, comme la rédaction du dossier professionnel de Communication dans lequel chacun est amené à faire le point sur les compétences attendues d’un juriste. La rédaction des syllabus et autres supports de cours est aussi un grand plaisir pour moi qui ai travaillé en maison d’édition. Et parce que ces supports existent, les cours peuvent être consacrés à autre chose que la simple transmission et l’épuisante prise de notes.

Les différentes situations rencontrées dans l’exercice de mon activité de comptable-fiscaliste alimentent mes propos et ma pédagogie, qu’il s’agisse d’expliquer les mécanismes de la comptabilité, d’établir une déclaration fiscale, de résoudre une problématique TVA ou d’utiliser des logiciels et des applications spécifiques à la profession.

Entourés de professeurs disponibles et actifs sur le terrain dans des secteurs tant diversifiés que complémentaires, les étudiants bénéficient d'un réel soutien et sont formés pour être directement opérationnels dans le monde professionnel une fois leur formation terminée. Une ambiance à la fois sérieuse et décontractée permet un apprentissage propice à la réussite.