Après avoir brillamment réussi son bachelier en Electromécanique, Stanislas a continué sa formation en suivant un master en alternance en Gestion de production à la HELHa à Mons. La combinaison des deux formations lui a permis de commencer sa carrière professionnelle chez AGC Automotive en tant que responsable de l'industrialisation des nouveaux produits puis chez Alten Belgium en tant que Consultant en Gestion de Projet Industriel. Pour des raisons personnelles, il a ensuite décidé de partir à Montréal avec son épouse et d’y reprendre un master en administration des affaires.

Mais pourquoi avoir commencé par l’EPHEC plutôt que l’Université ?

Stanislas nous explique qu’il a choisi l’EPHEC dans un souci de pragmatisme et pour éviter les formations traditionnelles d’ingénieur trop théoriques à son goût.

« L’EPHEC m’a offert l'équilibre que je cherchais entre pratique et théorie », nous dit-il.

En effet, tous les aspects pratiques, des laboratoires aux travaux et exercices pratiques au stage, avec possibilité d’Erasmus, lui ont permis de comprendre les concepts théoriques sous-jacents avec nettement plus de clarté que des démonstrations exclusivement théoriques.

« C’est un chemin différent pour arriver à un même endroit ».

La formation en Electromécanique a été, selon lui, un excellent tremplin pour le master en alternance en Gestion de Production. Et cerise sur le gâteau, l’EPHEC lui a donné l’opportunité d’effectuer son stage chez Carlsberg au Danemark plutôt qu’en Belgique. Et si c’était à refaire ? « Je recommencerai à l’identique », nous répond-il.

Il conclut en nous disant que la plus grande force de l’EPHEC c’est sans aucun doute la proximité des étudiants donnant au programme une touche « familiale » ainsi que la disponibilité des professeurs en cas de besoin.