Ensemble, se réaliser.

Dans nos fonctions, ce sont les outils qui sont les plus importants : les technologies évoluent constamment, mais la manière fondamentale d’aborder et de résoudre un problème, elle, ne change pas. À l’EPHEC, on apprend surtout les principes. Libre à nous de choisir ensuite la technologie vers laquelle nous tourner !

Passionnée par le digital et le marketing web, j’accompagne des PME de secteurs variés (mode, voyage, mobilier, construction, …) depuis plus de 10 ans. Ces dernières années, j’ai été consultante pour le groupe Carrefour en tant que Digital marketing manager. Chargée de cours à l’EPHEC, j'essaie de transmettre ma passion aux étudiants en marketing digital, e-commerce, médias sociaux et emailing.

À ma sortie de rhéto, mon choix s’est porté sur la formation en e-Business proposée par l’EPHEC. J’avais assisté à plusieurs séances d’information et les côtés pratique et innovant du bachelier m’ont convaincue que celui-ci m’ouvrirait de grandes portes pour l’avenir et je n'ai pas été déçue.

Ayant doublé deux fois en secondaire, j’étais en perte de motivation et j’avais la sensation d’avoir perdu du temps. J’avais donc besoin de sécurité et la perspective d’acquérir un bachelier à l’EPHEC permettait deux choses : pouvoir travailler ou continuer les études. Ce qui m’a plu à mon arrivée à l’EPHEC, c’est l’orientation pratique des cours. Assister à un cours uniquement théorique m’ennuie et c’est la possibilité de pouvoir aborder le droit d’une manière pratique, avec beaucoup d’interactivité et de travaux, seul ou en groupe, qui m’a fait aimer à la fois la matière et cette Haute École. On est très loin du cliché « le droit, c’est du par cœur ».

Il m’a permis d’obtenir une vision globale du métier de comptable et de la fiscalité, en allant droit au but avec une partie théorique constamment soutenue par différents cas pratiques. De plus, l’EPHEC nous propose une première expérience en entreprise en fin de bachelier qui permet une insertion plus facile dans le monde professionnel.

En outre, en tant que professeur, je me suis formée en Coaching Scolaire afin de donner une dimension plus humaine à la relation avec les étudiants. Grâce à la semaine internationale que nous organisons, nous élargissons les frontières de l’EPHEC et nous permettons à nos étudiants d’étendre leur réseau et de vivre une expérience internationale unique au cœur de Bruxelles.

De plus, susciter l'enthousiasme et la curiosité d’un public assidu par l'intermédiaire de présentations de projets concrets et vécus ne peut qu'engendrer de réelles motivations d'apprendre et de profonds échanges de connaissances.

Bien qu'étant déjà actif depuis plusieurs années en RH, il me semblait nécessaire d'augmenter mes connaissances et de développer mes compétences. L'EPHEC via sa formation a assez vite retenu mon attention et le fait d'avoir droit à certaines dispenses suite à mon Bachelier en cours du jour m'a poussé à me décider. Certaines unités sont plus théoriques, d'autres plus pratiques, ce qui donne un bon équilibre général à cette formation. Par contre l'aspect plus scolaire d'une Haute École est parfois rédhibitoire mais cela fait partie du jeu... Le contact avec le staff et les professeurs est aisé et le fait de se sentir compris et écouté donne un aspect plus humain à cet investissement journalier.

De 2000 à 2008 j'ai exercé une fonction dans le recrutement Marketing/ Communication. Depuis 2001, je suis co-responsable du cours à choix Communication en BAC 3 du Bachelier en Marketing (anglais) Je suis actuellement membre actif de la Fédération Belge des producteurs de films publicitaires et je représente l’EPHEC à l’Institut Edcom, qui œuvre au niveau Européen pour un plus grand échange entre le monde académique et le secteur de la communication commerciale. Toute cette expérience professionnelle passée et présente est mise à profit pour nos étudiants. Ma passion : les coacher dans le cadre de leurs études.

De très nombreux employeurs sont en quête de la perle rare en matière de profils informatiques. C’est pourquoi certains d’entre eux n’hésitent pas à assister à la défense des travaux de fin d’études de nos étudiants de façon à pouvoir les engager dès le 30 juin !