Le Bureau des Relations Internationales (BRI) n’y échappe pas : il a dû s’adapter pour maintenir la mobilité étudiante et le développement des compétences internationales chez nos étudiants.

Qu'en est-il des échanges Erasmus ?
Les Erasmus ont perduré, et devraient perdurer : si ces voyages d’études restent possibles, c’est parce que nos autorités les considèrent comme essentiels, puisqu’effectués à des fins d’apprentissage.
Pour garantir le sérieux des formations et la sécurité de chacun, le Bureau des Relations Internationales a élaboré un outil d’analyse de risques. Il permet d’évaluer de manière sérieuse et objective la situation dans tous les pays, dans les diverses régions et même dans chaque ville, en vue de s’assurer que la santé physique et mentale de chaque étudiant y sera garantie. Cet outil utilise des critères de base (maintien par l’institution partenaire de l’accueil des étudiants étrangers ; possibilité légale de voyager dans les pays de transit et le pays d’accueil, …), mais aussi des critères plus spécifiques (assurance voyage hospitalisation et rapatriement souscrite par l’étudiant, situation sanitaire dans le pays concerné au moment du départ de l’étudiant ; qualité des dépistages et des soins dans le pays d’accueil ; gestion de la crise Covid au sein de l’institution partenaire ; qualité de l’accueil proposé à l’étudiant par cette institution partenaire ; …).
Et bien entendu, durant le séjour, le BRI maintient un contact permanent avec l’étudiant, pour s’assurer que tout se déroule au mieux et pouvoir intervenir sans délai à la moindre difficulté.
Les semaines internationales se réinventent !

Les compétences internationales (compétences techniques internationales, linguistiques, interculturelles ; mais aussi l’engagement citoyen) ont aussi pu être travaillées par la virtualisation de nos semaines internationales.
Ainsi, du 16 au 22 novembre 2020, l’EPHEC a participé à sa première Semaine Internationale entièrement virtuelle : la « Global Entrepreneurship Week » ! Organisée par la Rotterdam University of Applied Sciences, elle rassemblait des institutions de de huit pays différents (États-Unis, Turquie, Argentine, Brésil, Argentine, Espagne, Pays-Bas et Belgique).
La thématique était la résilience des entrepreneurs face au Covid-19.
Concrètement, les étudiant(e)s ont dû travailler en groupes multiculturels sur des business cases réels, émis par des entrepreneurs (trois par pays, soit vingt-quatre au total) sélectionnés par les universités !
Pour l’EPHEC et la Belgique, nous avons collaboré avec : Houblonde, Edmunds et Nature Snacks. Les étudiants ont été ravis de leur expérience. Si vous souhaitez non seulement en (sa)voir plus, visionnez l’aftermovie !

 

L'internationalisation @ home, c'est possible aussi !

 

Un autre moyen de développer les compétences internationales est l’Internationalization at Home (I@H). Un beau projet (« Living in a Globalized World ») a été mis sur pied en International Business, dans le cadre du cours d’anglais des affaires.

Les étudiants ont collaboré avec les étudiants Erasmus IN pour la réalisation d’un magazine sur l’interculturalité.  Les étudiant(e)s de l’EPHEC ont préparé un « Belgium Survival Kit » et fait visiter un lieu, une ville, etc… de Belgique à leurs collègues.

Ensuite, ils ont dû réaliser un guide de type « Business Etiquette » (règles implicites quant aux interactions entre personnes ayant une relation d’affaires, commerciale, etc…) sur le pays ou la région d’où venaient les étudiants Erasmus.

Une belle réussite, comme en témoigne le magazine du groupe gagnant.

 

Vous souhaitez en savoir plus sur les actus internationales de l’EPHEC et sur le vécu de nos étudiants ? Alors, lisez notre Eramagz !