Même si la crise actuelle touche toute notre économie et ralentit la création d’emploi, nos bacheliers techniques en Automatisation, Électromécanique ou en Technologie de l’informatique ainsi que notre bachelier en Comptabilité y sont (quasi) insensibles !

Dans cet article du journal Le Soir du 22 août, nous pouvons lire « que fin juillet, on comptait 8.140 chercheurs d’emploi de moins de 25 ans, soit 1.169 de plus que l’année précédente (+16,8 %) à Bruxelles et 40.871 en Wallonie (+9,8 %) ». 
Véronique Gillet, notre adjointe à la directrice-présidente y confirme que « sur les filières en pénurie, les métiers techniques et informatiques, ou encore la comptabilité, on atteint des taux d’emploi pour les diplômés de juin proches des 100 % ».
Pour les étudiants en seconde session qui pourraient avoir plus de difficultés à trouver un emploi, l’EPHEC leur donnera accès gratuitement à son programme de formation continue, habituellement payant et destiné aux actifs. Elle leur conseillera également une éventuelle prolongation de leurs études par un master afin de postposer leur arrivée sur le marché de l’emploi
Dans un autre article, celui-là publié dans La Libre du 3 août dernier, on s’interroge sur le type de candidat qui trouvera le plus rapidement un travail ?

De l’importance du diplôme !

Nous y lisons que le premier atout est le diplôme. « Les détenteurs d'un baccalauréat ou d'un master ont le plus de chance d'être engagés. Selon Actiris, ils sont plus de 75% à trouver un poste la première année. Avec un diplôme du secondaire, les chances sont rabattues à 50%. Sans diplôme, cette part diminue encore : à peine une personne sur trois trouve un travail la première année ».
Comme dans l’article du journal Le Soir, Les formations misent en avant et qui sont dispensées à l’EPHEC sont les études d'informatique et de comptabilité ainsi que le bac en électromécanique.
Des études parfois méconnues, comme nos bacheliers en Automatisation et en Electromécanique ou ayant mauvaise presse, comme notre bachelier en Comptabilité, jugé à tort « en voie de disparition » et qui pourtant sont porteuses d’emploi !