En cette année académique 2019-2020, nous fêtons notre cinquantième anniversaire. Un véritable cap, un âge symbolique qui vient confirmer la clairvoyance et l’esprit d’entreprise de notre fondateur, Monsieur Serge Gasquard. En cinq décennies, nous avons révélé plus de 21.000 talents, en Haute École comme en École de Promotion sociale.
Sur cette page, vous pourrez parcourir notre histoire, découvrir comment nous sommes nés et avons évolué, qui sont les femmes et les hommes qui ont rendu cette belle aventure humaine possible… Revenez-y de temps à autre car nous la complèterons tout au long de cette année académique.
50 ans d'EPHEC
A coeur ouvert #1
L'aftermovie de notre soirée de rentrée académique
Un peu d'humour
A coeur ouvert #2
A coeur ouvert #4
a coeur ouvert #3
A coeur ouvert #5
Vous êtes curieux ? Allez voir tout l'album photos ici
Feuilletez notre livret des 50 ans
Parcourez notre Wall of Fame, des portraits d'anciens qui se distinguent par leur métier et leur engagement.
Annick Loppe
HR Manager chez Fédérale Assurance
Annick Loppe
HR Manager chez Fédérale Assurance
« Je n’ai qu’un regret, ne pas avoir suivi cette formation plus tôt ! »
Découvrez le portrait d’Annick Loppe, HR Manager chez Fédérale Assurance. En voulant consolider ses connaissances, elle s’est offert un véritable tremplin pour sa carrière.
Annick Loppe travaillait déjà dans les ressources humaines lorsqu’elle décide de suivre des cours à l’EPHEC. C’est lorsqu’elle reçoit la possibilité de reprendre la direction du service du personnel dans son entreprise que le déclic se fait. « Tout en entrant dans ma nouvelle fonction, j’ai voulu élargir et consolider mes connaissances par l’obtention d’un diplôme. J’ai naturellement choisi l’EPHEC parce que c’était la seule école qui proposait un Bachelier en Gestion des Ressources Humaines en cours du soir à Bruxelles », nous confie-t-elle.
Tremplin pour sa carrière
L’EPHEC lui a apporté la reconnaissance de son employeur, au-delà de la confiance que celui-ci lui portait déjà. Forte de son diplôme et de son expérience, Annick décide de changer d’employeur. La réputation de la formation de l’EPHEC lui a ouvert beaucoup de portes et elle est maintenant HR Manager chez FEDERALE Assurance.
Ses meilleurs souvenirs de l’EPHEC ? « Ce sont les cours de Maître Henrard, puits de science législative et les excellentes relations avec presque tous les professeurs avec qui je garde encore le contact. La proximité entre les élèves et les professeurs est une grande force de l’EPHEC, c’est vraiment un enseignement supérieur à visage humain. »
Annick a trouvé à l’EPHEC une formation à la fois théorique et pratique qui est en lien avec le monde réel du travail. Elle n’a qu’un seul regret : « Ne pas avoir fait cette formation plus tôt ! ».
Mayélé Coulibaly
Office Manager, Compagnie Minière du Bafing
Mayélé Coulibaly
Office Manager, Compagnie Minière du Bafing
Mayélé nous écrit depuis son bureau sur la mine, à Foungbesso à 70 km de la ville de Man, en pleine brousse, où la société a construit un grand camp de vie mais comment est-elle arrivée là-bas ?
Mayélé est sortie de l’EPHEC en 2010. Avec son diplôme tant attendu en main, deux choix s’offraient à elle : rentrer en Côte d’Ivoire d’où elle est originaire pour y travailler ou continuer ses études. À 22 ans, son choix est vite fait, elle préfère continuer ses études. Elle s’inscrit à l’ECS à Bruxelles pour suivre un master en Communication Politique et Affaires Internationale en un an. « Une expérience toute aussi extraordinaire que celle que j’ai vécu à l’EPHEC », nous dit-elle. Un an plus tard, elle ne se sent toujours pas prête à entrer dans la vie professionnelle, elle quitte alors la Belgique pour les USA et s’installe à Washington DC pour tout recommencer. En moins de 3 ans, elle termine un nouveau bachelor en International Business et 2 ans après, un second master en Administration des Affaires spécialité Management.
A 28 ans, elle se sent enfin prête à rentrer dans son pays avec dans les mains deux bachelors en Commerce International et 2 masters.
En 2018, elle décroche son tout premier job, dans un secteur qui lui était totalement inconnu : Office Manager/Exécutive Assistante du CEO à la Compagnie Minière du Bafing. Le Bafing est une région dans l’ouest de la Cote d’Ivoire, où la société procède à l’excavation, au transport et à l’exportation de minerais de Nickel.
« Cela fait 2 ans et demi que je travaille à la CMB, je dois avouer que très vite, la fonction d’Office Manager et d’Assistante Exécutive a pris une autre tournure. Je me suis retrouvée sur le terrain (nous avons des activités dans 3 villes de la Cote d’Ivoire) à vivre l’une des plus belles expériences de ma vie jusqu’à présent. Dans le cadre de mon travail, je gère les employés (assistance, voyages, traduction, contrats, paiements, recrutements, logistique) et le secrétariat de mon patron, le grand patron de la CMB, mon mentor. »
« L’EPHEC m’a apporté tout ce dont j’avais besoin pour être la femme que je suis aujourd’hui, là où je suis aujourd’hui. La liste est longue mais j’aimerai vous raconter une petite anecdote : le premier jour de la rentrée, cours de marketing avec notre titulaire Mme Hu, une femme exceptionnelle. Nous devions prendre des post-it, écrire 3 mots qui nous définissent, ensuite se balader dans la classe et faire la connaissance d’une personne que nous présenterions à toute la classe après. J’ai écrit mes mots et je suis restée assise pendant 20 minutes. Madame Hu est venue vers moi et m’a dit « lève-toi et vas-y ! Ose ! », j’avais honte, j’avais peur mais je suis partie. Je suis allée au tableau avec mon amie Julie Mpumba et je l’ai présentée à ma manière, avec de l’humour et de grands gestes. A partir de ce jour-là, plus rien ne m’a stoppée. J’étais jeune, un peu inconsciente, je n’avais pas les meilleures notes en classe mais s’il y a bien quelque chose que l’EPHEC m’a apporté, c’est ça, devenir une autre, prendre conscience de mes capacités, mes qualités, ma valeur ! Oser me lancer sans douter de moi. Une réelle expérience de vie.
Bien sûr, chaque cours, chaque notion apprise pendant mes études à l’EPHEC ne m’ont pas quittée, surtout que j’étais une adepte de l’apprentissage « par cœur » ! J’ai gardé certains livres, notamment le Kotler, que Mme Hu appelait la Bible ! »
« L’EPHEC m’a surtout apporté la diversité de l’esprit. »
« C’était lors de ma toute première présentation de TP Marketing. Je suis moitié belge et moitié ivoirienne mais je n’avais jamais entendu quelqu’un avec l’accent belge parler sérieusement. On formait un groupe et chacun avait une partie à présenter, on était tous stressés mais chacun arrivait tant bien que mal à faire la présentation. Mon tour est arrivé, j’ai réussi à captiver l’attention de tout l’auditoire et mon stress descendait petit à petit. Après moi vint le tour de mon ami, dès qu’il a prononcé les premiers mots, j’ai éclaté de rire. Un fou rire intense que j’ai communiqué à toute la classe, même lui ! Ça a complètement changé l’atmosphère tendue en classe ce jour-là. »
« Apprendre (la vie) par la pratique ».
Elle le referait sans hésitation !
« J’ai connu des personnes brillantes, j’ai appris des choses sur moi-même, sur le commerce international, sur l’Europe, sur la Belgique, sur le monde. Tout cela représente un cadeau unique que je garde avec moi en tout temps, en toute circonstance », ajoute-t-elle.
Flavio Molendini
Co-fondateur de B2C2
Flavio Molendini
Co-fondateur de B2C2
Diplômé en Technologie de l'informatique en 2011, Flavio fonde en 2015 une société spécialisée en crypto monnaies. Quel est son parcours ?
Jeune diplômé en 2011, il passe deux ans dans le développement d'applications en C#. Après avoir réussi un master en Finance en cours du soir, il s’installe à Londres pour travailler en tant que lead développeur dans une start-up fintech. En 2015, il y fonde avec Max Boonen « B2C2 », une boîte dans le trading haute fréquence de crypto monnaies, qui est devenue l'un des leaders mondiaux.
L'EPHEC lui a apporté le goût de la programmation et des connaissances assez larges pour me permettre de toucher à tout dès son arrivée dans le monde du travail et ce grâce à des cours à la pointe et toujours à jour, une grande dimension humaine et l'envie de transmettre aux étudiants.
Caroline Demain
Co-CEO de Talentus
Caroline Demain
Co-CEO de Talentus
Caroline Demain, diplômée en Droit en 1999 travaille depuis 20 ans dans le secteur passionnant du recrutement, elle nous explique son parcours en quelques lignes.
Engagée avant la remise de son diplôme comme assistante juridique dans une étude de notaire, Caroline Demain démarre sa carrière en 1999. Elle se rend très vite compte que ce qui lui plait vraiment c’est le droit social et au bout de 4 mois, elle réoriente sa carrière.
Elle débute alors comme consultante en recrutement et sélection dans le secteur de l’intérim. Elle grimpe les échelons petit à petit et devient manager de bureau puis district manager et enfin co-CEO de Talentus il y a 2 ans.
Pourquoi avoir choisi l’EPHEC ?
Caroline nous explique qu’elle a choisi d’étudier à l’EPHEC parce qu’elle voulait entrer rapidement dans la vie active et que les différentes options d’études qui y étaient proposées permettaient de se diriger vers de nombreux métiers.
Une bonne expérience alors …
L’EPHEC lui a apporté une formation générale qui lui sert tous les jours dans sa fonction de chef d’entreprise. « Que ce soit en comptabilité, en langues ou en droit, tout m’est utile », nous dit-elle. Et cerise sur le gâteau, « j’y ai appris à m’exprimer en public, à présenter des projets consistants ».
Elle ajoute que « l’EPHEC est une école supérieure à dimension humaine qui combine parfaitement la théorie et la pratique relative à un métier ».
Elle en garde de très bons souvenirs mais le meilleur est celui de la remise des diplômes … la concrétisation de ses trois années d’études et le début d’une nouvelle vie.
Jastaran Sran
Network engineer, Cisco
Jastaran Sran
Network engineer, Cisco
Jastaran Sran obtient son diplôme en Technologie de l’informatique en 2004, quel est son parcours ?
A la fin de ses études, elle est engagée au département informatique de l'EPHEC Woluwe et y travaille pendant un an afin de développer son expérience. Elle est ensuite engagée chez Cisco comme Network Engineer.
Depuis 14 ans, elle travaille au sein du laboratoire CxLabs. « On y crée et configure les réseaux de clients afin de reproduire la panne et de trouver une solution. Le labo contient la plupart du matériel Cisco, autant physique que virtuel ».
En quoi la formation de l’EPHEC vous a aidée ?
« Cette formation m'a permis d'acquérir des bases solides en réseaux informatiques. Elle m'a également permis d'apprendre à rechercher la bonne information sur Internet » nous dit-elle.
Pourquoi avoir choisi l’EPHEC alors qu’il y avait d’autres possibilités d’études dans le domaine informatique ?
Pour la formation qu'elle offrait : de la théorie mais également beaucoup de pratique. Pour le lieu également : vivre sur le campus de Louvain la Neuve.
L’EPHEC est une école très humaine où l’on n’est pas un numéro. Jastaran garde de très bons souvenirs de ces 3 années. Les professeurs étaient très présents, toujours à l'écoute. Il y avait une bonne ambiance générale ainsi qu’une grande entraide parmi les étudiants.
Une bonne option pour démarrer dans la vie professionnelle.
Stanislas Dumont de Chassart
Futur consultant, Ernst & Young
Stanislas Dumont de Chassart
Futur consultant, Ernst & Young
Diplômé en Electromécanique en 2013, Stanislas Dumont de Chassart est actuellement consultant chez Agrilog à Montréal, il attend l’été avec impatience car il rejoindra alors l’équipe Stratégie et Expérience Client d’Ernst & Young à Montréal comme consultant.
Après avoir brillamment réussi son bachelier en Electromécanique, Stanislas a continué sa formation en suivant un master en alternance en Gestion de production à la HELHa à Mons. La combinaison des deux formations lui a permis de commencer sa carrière professionnelle chez AGC Automotive en tant que responsable de l'industrialisation des nouveaux produits puis chez Alten Belgium en tant que Consultant en Gestion de Projet Industriel. Pour des raisons personnelles, il a ensuite décidé de partir à Montréal avec son épouse et d’y reprendre un master en administration des affaires.
Stanislas nous explique qu’il a choisi l’EPHEC dans un souci de pragmatisme et pour éviter les formations traditionnelles d’ingénieur trop théoriques à son goût.
« L’EPHEC m’a offert l'équilibre que je cherchais entre pratique et théorie », nous dit-il.
En effet, tous les aspects pratiques, des laboratoires aux travaux et exercices pratiques au stage, avec possibilité d’Erasmus, lui ont permis de comprendre les concepts théoriques sous-jacents avec nettement plus de clarté que des démonstrations exclusivement théoriques.
« C’est un chemin différent pour arriver à un même endroit ».
La formation en Electromécanique a été, selon lui, un excellent tremplin pour le master en alternance en Gestion de Production. Et cerise sur le gâteau, l’EPHEC lui a donné l’opportunité d’effectuer son stage chez Carlsberg au Danemark plutôt qu’en Belgique. Et si c’était à refaire ? « Je recommencerai à l’identique », nous répond-il.
Il conclut en nous disant que la plus grande force de l’EPHEC c’est sans aucun doute la proximité des étudiants donnant au programme une touche « familiale » ainsi que la disponibilité des professeurs en cas de besoin.
Sebastien Braun
Co-founder & Managing Partner, Weeb Agency
Sebastien Braun
Co-founder & Managing Partner, Weeb Agency
La formation de comptable a l’EPHEC comme tremplin à la création de son agence de communication Weeb.
Après quelques mois de « pause » bien méritée, Sébastien décroche son premier emploi en tant qu’employé comptable dans un petit bureau familial à Waterloo, un job à mi-temps car en parallèle il lance sa société événementielle (organisation de soirées étudiantes).
Il ne s’arrête pas en si bon chemin et démarre un projet d’agence de communication digitale avec un ami. Ce projet plein de potentiel lui demande beaucoup de temps, il décide alors de quitter son emploi de comptable en mars 2015 et en juillet 2016, il arrête sa société d’événements pour se consacrer entièrement à son agence de communication. Weeb s’est rapidement développée et compte maintenant 8 personnes, Sébastien et son associé compris.
Et l’EPHEC dans tout cela ?
L’enseignement dispensé à l’EPHEC lui a permis d’être mieux organisé, de comprendre la nécessité du respect des échéances et du long life learning. Il a également pu toucher à l’entreprenariat, de manière indirecte du moins, grâce au travail de création d’entreprise. "Ce travail très enrichissant permet aux étudiants de se rendre compte que créer son entreprise ce n’est pas si compliqué que cela". D’ailleurs, Sébastien a choisi le thème de la création de sa société pour son TFE
Il nous résume l’EPHEC comme ceci : « Le juste milieu entre apprentissage théorique et pratique (grâce au stage de 15 semaines) qui permet aux étudiants d'être prêts et opérationnels pour le monde du travail après les 3 ans de bachelier ».
Si c’était à refaire ?
« Je fonce », nous dit-il.
François Daloze
Director and Head of debt operations, Alter Domus Luxembourg
François Daloze
Director and Head of debt operations, Alter Domus Luxembourg
François Daloze, Director and head of debt operations chez Alter Domus, Luxembourg.
François est diplômé en comptabilité et a terminé ses études en 2001. Découvrons son parcours professionnel.
Il commence tout d’abord comme commercial dans une agence bancaire Dexia (actuellement Belfius) mais travailler dans un environnement si réduit avec des perspectives d’évolution qu’il juge limitées l’a poussé à se tourner vers un tout autre type d’entreprise et à rejoindre Ernst & Young à Luxembourg.
Deux ans plus tard, il s’intéresse à l’activité des fonds d’investissement et décide de revenir à la comptabilité (de fonds) en rejoignant BNP Paribas Securities Services. Pendant 13 ans, il évolue au sein de l’entreprise en prenant diverses responsabilités locales et globales dans le milieu des fonds alternatifs (Hedge Funds, Private Equity, Real Estate, Private Debt, …).
Enfin, il y a 3 ans, il rejoint Alter Domus, leader sur le marché des services aux fonds et structures alternatives à Luxembourg où il occupe la fonction de director and head of debt operations.
Nous lui avons posé quelques questions sur son parcours à l’EPHEC.
" L’EPHEC avait une très bonne réputation et j’avais des amis diplômés de l’EPHEC qui me l’avaient conseillé. La nouvelle (à l’époque) implantation de Louvain-la-Neuve me convenait parfaitement".
" En plus des connaissances et de mon diplôme, j’ai évolué pendant 3 ans au sein d’une école soucieuse de ses élèves et de leur avenir. L’EPHEC m’a aidé à me poser les questions qu’il fallait sur mon avenir et à m’orienter sur mes choix futurs. La disponibilité des professeurs, leurs connaissances du terrain, de la « vraie vie » étaient vraiment des atouts".
"Une école soucieuse de la formation et de l’avenir de ses étudiants".
"Je re-signerais sans hésiter ! Mon fils devra faire des choix dans 2 ans, en fonction du domaine dans lequel il souhaitera se tourner, je lui conseillerai certainement d’envisager l’EPHEC".
Astrid de Pierpont
Business consultant, Swift.
Astrid de Pierpont
Business consultant, Swift.
Astrid de Pierpont, diplômée en Technologie de l’informatique en 2010 est actuellement Business consultant chez Swift.
Découvrons son parcours professionnel.
Après avoir obtenu son diplôme en 2010 et avoir fait un stage chez EDF Belgium, Astrid a travaillé pour l’Université de Gembloux en tant que développeur-analyste dans l’unité de Gestion forestière. Elle y analysait et développait un logiciel générant des photographies aériennes utilisant la technologie LIDAR et a créé une base de données centralisée ainsi qu’un logiciel d’importation pour une future plateforme de simulation forestière. Elle a eu aussi l’opportunité de pouvoir y intégrer des stagiaires venant de l’EPHEC. Parallèlement, elle a obtenu un master en Sciences Informatiques à l’Université de Namur.
Après un séjour aux Etats-Unis de 18 mois, elle a été engagée chez Deloitte Luxembourg comme consultante. Tout en développant sa connaissance des fonds d’investissement, elle a travaillé durant deux ans sur un logiciel déterminant les taxes et provisions de divers produits financiers. Elle a également eu l’opportunité de mettre en place l’équipe de tests et de qualité au sein du département. Elle termine chez Deloitte comme Chef de Projet après avoir été formée à la méthodologie Agile. Cinq ans plus tard, Astrid et son mari décident de quitter le Luxembourg pour revenir vers Bruxelles. En septembre 2019, Swift l’engage en tant que senior business-analyste où son travail consiste à réfléchir aux nouvelles fonctionnalités des logiciels de la société.
« Je voulais avoir un cursus diversifié et multidisciplinaire dans l’informatique. L'électronique, les bases de données, l'algorithmique, les réseaux et les télécommunications m'intéressaient et l’EPHEC me permettait de tout couvrir. La découverte de la théorie par la pratique et la pédagogie active était aussi pour moi très importantes ».
« L’EPHEC m’a apporté un profil multidisciplinaire, une curiosité et un sens critique dans le monde de l’informatique. L’EPHEC m’a aussi donné l’occasion de faire un stage en dernière année qui a été pour moi une ouverture sur le monde du travail ».
« Défendre mon TFE devant les professeurs de l’EPHEC et des employés du groupe CMI, avec lesquels je travaillais en partenariat. Bien que stressant, ce fut une belle représentation de la transition du monde étudiant à celui du travail ».
« Une école à l’échelle humaine tournée vers le monde professionnel ».
« Les professeurs qui ont une expérience professionnelle et qui la mette à disposition de l’enseignement. Cela crée une grande richesse pour les étudiants ».
« Je le referais sans hésiter. Mes plus belles années d’études. Passionnantes et enrichissantes ».
Yves Roy
Marketing and Communication Manager, Schneider Electric
Yves Roy
Marketing and Communication Manager, Schneider Electric
« Chacun construit son chemin professionnel selon ses propres aspirations ! »
Yves Roy a obtenu son diplôme à l’EPHEC en 1980. Trois jours après, il entamait sa carrière chez Schneider Electric où il travaille encore aujourd’hui. En 40 ans, il a occupé de nombreuses fonctions jusqu’à en devenir le Responsable de la Communication et du Marketing. Portrait d’un éternel étudiant…
Pourriez-vous nous dire qui êtes-vous et que faites-vous comme métier ?
Je m’appelle Yves ROY, j’ai 61 ans et je suis directeur de la Communication de la filiale belge de Schneider Electric, le leader mondial de la transformation digitale pour la gestion de l’énergie dans les bâtiments et l’automatisation. Ma particularité est de n’avoir travaillé que pour une seule entreprise qui s’appelait au départ Télémécanique Electrique Belge pour devenir Schneider Electric aujourd’hui. Certains prétendront qu’il est dommage de n’avoir connu qu’une seule entreprise. Je réponds généralement qu’il est aussi très enrichissant de suivre l’évolution d’une même organisation au fil des années. Lorsque j’ai commencé, il n’y avait pas de PC ou de smartphone ; nous avions juste un téléphone sur le bureau comme outil de communication.
Pourriez-vous nous retracer brièvement votre parcours professionnel depuis la fin de votre passage chez nous ?
J’ai terminé mes études à l’EPHEC en section Technique le 27 juin 1980 et le 1er juillet je commençais ma carrière professionnelle dans une société du nom de Télémécanique Electrique Belge. Cette entreprise présente la particularité d’avoir inventé en 1924 le contacteur, cette interface de puissance qui pilote nombre de moteurs électriques de par le monde. Engagé en tant que stagiaire ONEM, cette société m’avait signalé qu’elle m’acceptait pour un stage de 6 mois à un an maximum, ce qui, dans l’attente de mon service militaire, me convenait parfaitement. Presque 40 ans plus tard, j’y travaille toujours (sourire) !
J’ai commencé en tant que Chef de produit. J’ai notamment lancé le premier microautomate programmable de Schneider Electric en Belgique. Au fil des ans, le portefeuille d’offres dont j’avais la responsabilité s’est étoffé (Pneumatique, modules électroniques, auxiliaires d’équipement, canalisations électriques préfabriquées, tableaux MCC, …).
En 1988, j’ai rejoint l’agence commerciale du Brabant en tant que Chef de service. En 1993, la Télémécanique Electrique Belge et Gardy Merlin Gerin fusionnent pour devenir Groupe Schneider. Je démarre dans cette nouvelle organisation comme Responsable de la Clientèle des Revendeurs et Clientèle Diffuse. Enfin, en 2000 je prends la responsabilité de la Communication de Schneider Electric en Belgique doublée un certain temps par la direction du Marketing des activités Industry, fonction que j’exerce encore aujourd’hui.
Ce parcours linéaire a été complété par une fonction syndicale importante vers laquelle mon intérêt pour les relations humaines, les rencontres des personnes et ma curiosité de la diversité m’ont encouragé puisque j’ai été Secrétaire du Conseil d’Entreprise en Belgique durant plus de vingt ans et même Secrétaire du Comité Européen de Schneider Electric. Qu’une Entreprise comme Schneider Electric confie la responsabilité de sa communication en Belgique à l’un de ses leaders syndicaux témoigne quand même d’une ouverture d’esprit qu’il convient de saluer.
Quel regard posez-vous sur votre parcours ?
Finalement, en regardant ce parcours assez éclectique qui commence avec une fonction technique pour arriver à un job en communication, le message est aussi que le diplôme obtenu à l’EPHEC en section Technique est une porte d’entrée dans le monde professionnel et qu’il convient à chacun de construire par la suite son chemin en fonction de ses propres aspirations. Rien n’est fermé, tout est ouvert et les possibilités sont très nombreuses.
"Le diplôme que j'ai obtenu à l’EPHEC en section Technique est une porte d’entrée dans le monde professionnel. Il convient ensuite à chacun de construire son propre chemin en fonction de ses aspirations personnelles."
Pourquoi avez-vous choisi l’EPHEC pour vos études ?
Je souhaitais suivre des études très pratiques qui donnaient accès à un métier technique dans un délai rapide. L’EPHEC était une école qui proposait ce type de formation. J’ai donc suivi un cycle en « Automation et Régulation ». Le terme « Automation » était magique pour moi et m’a convaincu de m’y inscrire. Le Préfet a essayé de me décourager lors de l’inscription en me signalant qu’il n’était jamais arrivé qu’un étudiant qui sortait d’humanité classique (je sortais de latinsciences) réussisse dès la première année compte tenu de la difficulté de surmonter simultanément les technologies de l’électronique et de l’électricité. Avec de la persévérance et surtout la solidarité des autres étudiants dont un a passé des nuits à m’expliquer les bases de l’électricité et de l’électronique, j’y suis arrivé. Cette solidarité m’a aidé, a été une grande chance pour moi et a donc changé ma vie… Il faut dire que nous avons commencé à près de 60 étudiants et que nous ne sommes passés en deuxième qu’à douze.
Que vous a apporté l’EPHEC ? Qu’avez-vous gardé de l’EPHEC et que vous appliquez peut-être encore aujourd’hui dans votre travail ?
Le corps enseignant de l’école était constitué de personnalités remarquables qui avait une capacité et une patience pour nous inculquer le virus et l’enthousiasme du métier. Il y avait notamment un professeur du nom de Cloquette, bourru et sec comme peut l’être un ancien militaire de carrière mais dont les yeux pétillants trahissaient l’affection qu’il avait pour ses étudiants. Il nous disait régulièrement : « Vous n’êtes pas ici pour apprendre car les bases que nous vous enseignons seront pour grande partie rapidement oubliées… Mais vous êtes ici pour apprendre à apprendre ». J’arrive au bout de mon parcours professionnel et je dois avouer oh combien il avait raison… Encore aujourd’hui, chaque jour est source d’apprentissage et de nouvelles découvertes. C’est ce qui fait aussi l’attrait du métier et l’évolution des technologies au cours de ces quatre décennies en témoigne.
"Une phrase m'a marqué à l'EPHEC: vous êtes ici pour apprendre à apprendre !"
Votre meilleur souvenir de l’EPHEC ? Auriez-vous une anecdote singulière ?
Je n’ai que des bons souvenirs, principalement lors de la dernière année. Mais rien de très marquant ou à mettre en exergue si ce n’est ce professeur d’électronique du nom de Fossion. Un génie de l’électronique qu’il suffisait de solliciter pour fermer livres et cahiers afin de développer toutes sortes d’appareils électroniques dont il dessinait les circuits au tableau. Les cours passaient à grande vitesse dans ces échanges passionnants.
Si vous deviez résumer l’Ephec en une phrase, vous diriez…
Une école qui a changé positivement ma vie et m’a apporté toute la passion d’un métier de plus en plus utile pour la société. Car n’oublions pas que nos métiers techniques proposent une partie des solutions pour répondre aux grandes tendances du monde actuel, notamment grâce à un impact positif sur le climat par une meilleure gestion de l’énergie et donc l’accès à un monde plus durable. Ce n’est plus aujourd’hui un métier, c’est une mission.
La plus grande force de l’Ephec c’est…
Je ne connais plus très bien l’EPHEC aujourd’hui, mais à l’époque, c’était incontestablement la qualité de son corps professoral qui restait attentif à l’évolution des technologies. Au point que j’ai commencé ma carrière chez Télémécanique en donnant des cours de remise à niveaux sur le « grafcet et les séquenceurs » à des professeurs de l’enseignement technique car nous avions déjà été formés à l’EPHEC sur ces technologies novatrices.
Si c’était à refaire ?
Ou plutôt si nous pouvions le refaire et recommencer ce parcours depuis les premiers pas dans l’école du Boulevard Lambermont jusqu’aujourd’hui à l’automne de ma vie professionnelle avec le sentiment de beaucoup de moments de plaisir et de joies partagés et surtout le sentiment d’avoir été utile… Cette vie dont je ne regrette rien a certainement commencé ce premier jour de septembre 1978 en franchissant la porte de l’EPHEC… C’est d’ailleurs toujours ce que je dis aux nombreux étudiants que je rencontre très régulièrement : « Ayez le courage d’aller au bout de ce parcours scolaire qui peut sembler parfois ardu et difficile car le diplôme qui en résulte est la clé qui va changer votre vie… ». C’est mon expérience de vie et je souhaite le même bonheur à tous les étudiants de l’Ephec !
"Ayez le courage d’aller au bout de ce parcours scolaire qui peut sembler parfois ardu et difficile car le diplôme qui en résulte est la clé qui va changer votre vie…"
Sabine Desantoine
Head of Regulatory & conduct Compliance Advisory - ING Belgique
Sabine Desantoine
Head of Regulatory & conduct Compliance Advisory - ING Belgique
Après un master en droit, Sabine débute sa carrière professionnelle et entre assez rapidement dans le secteur des assurances. « Je trouvais essentiel d’approfondir mes connaissances en assurances et de le faire d’une manière plus pratique que purement théorique » nous confie-t-elle. Employée en journée, Sabine se lance alors dans un Bachelier en Assurances et Gestion du risque en cours du soir à l’EPHEC. « C’était la formation parfaite pour moi car elle me permettait de renforcer mes connaissances et d’apprendre de façon pratique, tout en travaillant. »
Cette formation lui a permis dans un premier temps d’acquérir plus rapidement certaines connaissances et ensuite de montrer à son employeur sa motivation pour la matière et la fonction.
Actuellement, Sabine occupe la fonction de « Head of Regulatory & conduct Compliance Advisory » au sein du département Compliance d’ING Belgique. Précédemment, elle était responsable du service Insurable Risks (Legal department) dont la mission était double : assurer les propres risques opérationnels de la banque et fournir le conseil juridique pour la banque en tant qu’intermédiaire en assurances.
Sabine garde de très bons souvenirs de son passage à l’Ephec. « Je me souviens d’une très bonne classe, d’étudiants motivés à apprendre, de cours résolument tournés vers la pratique et d’un corps professoral de professionnels passionnés par leur métier désireux de partager leur savoir. »
Et si c’était à refaire ? Elle nous confirme sans hésitation : « Je le referais ! ».
Si, vous aussi, vous souhaitez vous tourner vers le monde des assurances, sachez que l’Ephec a récemment adapté son programme pour coller d’encore plus près à la réalité du terrain. Vous pouvez désormais suivre, à horaire décalé, un Bachelier en assurances et gestion du risque.
Natasha Robert
Payroll Advisor chez Danone
Natasha Robert
Payroll Advisor chez Danone
« L’EPHEC, c’est vraiment l’école supérieure qui assure le succès professionnel »
Natasha Robert a été diplômée en Administration et gestion du personnel en 1997.
Elle a choisi l'EPHEC principalement pour sa formation très pratique et ancrée dans la réalité du monde professionnel. « Cette formation m’a permis d'être rapidement engagée comme généraliste en ressources humaines dans plusieurs sociétés internationales où j'ai été très appréciée pour mes compétences. L'EPHEC m'a apporté un enseignement de qualité qui m'a vraiment bien préparée à affronter le monde du travail qui, avec les années, est devenu de plus en plus exigeant à tous niveaux », nous confie-t-elle.
Son meilleurs souvenir ? « Etonnamment, c'est la défense de mon TFE. Mes professeurs étaient tous très à l'écoute et ils m'ont donné de bons conseils pour la suite de ma carrière » nous dit-elle.
Elle conclut en nous expliquant que la plus grande force de l’EPHEC c’est sa capacité à s'adapter au monde de l'entreprise qui évolue de plus en plus vite et où l’on doit avoir des connaissances solides pour bien fonctionner. « L’EPHEC c’est vraiment l’école supérieure qui assure le succès professionnel ».
Et si c’était à refaire ? Sans hésiter, elle nous l’affirme : « je choisirais à nouveau l'EPHEC car c'est la voie pratique vers la réussite ! ».
Thierry Sequeira
CEO, Massive Rocket
Thierry Sequeira
CEO, Massive Rocket
L’EPHEC a changé ma vie !
Diplômé en Technologie de l’informatique en 2006, Thierry Sequeira est aujourd’hui CEO de sa propre société Massive Rocket. Entré à l’EPHEC un peu par hasard, il déclare désormais sans détour que son bachelier est certainement l’une des meilleures choses qui ne lui soit jamais arrivée.
Qui est Thierry Sequeira ?
J’ai 35 ans et je vis à Londres où j’ai créé Massive Rocket (www.massiverocket.com), une Agence digitale installée au Royaume-Uni et en Belgique. J’ai fondé cette société avec mon « binôme » de l’EPHEC, Olivier Croegaert. Nous aidons nos clients (dans la finance, les médias, l’énergie et l’aviation) à comprendre leurs utilisateurs afin de construire de nouvelles expériences digitales pour communiquer avec leurs utilisateurs de façon personnalisée en temps réel.
Pourriez-vous nous retracer brièvement votre parcours professionnel depuis la fin de votre passage chez nous ?
J'ai été diplômé de l'EPHEC en 2006 et j'ai directement commencé à travailler comme consultant technique aux États-Unis. Depuis, j’ai déjà fondé 3 startups au Royaume-Uni et je travaille avec des clients d’un peu partout dans le monde.
Pourquoi avez-vous choisi l’EPHEC pour vos études ?
Aïe… ma réponse risque de vous déplaire, du moins en partie (rire). En fait, à l’époque, j’avais foiré l'examen d'entrée pour devenir Ingénieur du son dans une autre haute école. Du coup, j’ai pris n’importe quoi pour tuer le temps un an dans l’idée de représenter l’examen d’entrée l’année suivante. Mais la réalité m’a rattrapé et j’ai adoré l’EPHEC. Je suis donc resté et j’ai terminé mon Bac. Honnêtement, l’EPHEC est l’une des meilleures choses qui ne me soit jamais arrivée :-)
Que vous a apporté l’EPHEC ?
L’Ephec m’a apporté 4 aspects qui m’ont été indispensables tout au long de mon parcours professionnelles. Premièrement, de bonnes bases en informatique. Deuxièmement, un vrai réseau d’amis et de professionnels sur lequel je peux toujours compter, même 12 ans après avoir quitté l’EPHEC. Troisièmement, un stage en entreprise qui m’a ouvert les yeux sur ce que je voulais faire de ma vie. Et enfin quatrièmement, un co-fondateur avec qui je travaille depuis près de 4 ans dans des startups !
Auriez-vous un meilleur souvenir à partager à propos de l’EPHEC ?
C’est très compliqué d’en choisir un. En fait, j’ai des centaines d’histoires qui me reviennent régulièrement en tête et qui me font sourire encore aujourd'hui.
Si vous deviez résumer l’Ephec en une phrase, vous diriez…
L’EPHEC a changé ma vie !
Et ce n’est pas une simple formule.
La plus grande force de l’Ephec, c’est…
La diversité des cours proposés, le mix entre le marketing et l’informatique et les stages pratiques en entreprise.
Si c’était à refaire ?
100% pour ! Mes années à l’EPHEC comptent parmi les meilleures années de ma vie.
Arnold Delville
Responsable Marketing – Ireland Portugal Business Network.
Arnold Delville
Responsable Marketing – Ireland Portugal Business Network.
L'EPHEC , c'était le parcours exact pour moi, ce dont j'avais vraiment besoin !
Le parcours professionnel D'Arnold Delville
Arnold Delville est diplômé en marketing de l'EPHEC à Bruxelles et titulaire d'un Master en Business & Administration (MBA) du Henley Management Collège (UK), où il a étudié entre 1988 et 1990 juste après l’obtention de son diplôme.
Il a débuté sa carrière professionnelle en 1991 à Francfort-sur-le-Main au journal anglais d’informations économiques et générales The Economist où il reste jusqu’en 2009, après avoir été affecté à Londres, Lisbonne et Paris. Il rejoint ensuite le Financial Times dans leur bureau de la City à Londres. Basé à Lisbonne depuis 2000, il y vit désormais en permanence depuis 2014 avec sa famille.
Il est aujourd’hui spécialisé dans le marketing d'adhésion, l'organisation d'événements et le développement commercial et économique entre l'Irlande et le Portugal, et rattaché à l’Ambassade d’Irlande au Portugal.
Pourquoi avoir choisi l’EPHEC ?
En 1986, en m'inscrivant au cours de marketing de l’EPHEC à Bruxelles, je cherchais un cours plus pratique où je pourrais acquérir une expérience professionnelle en travaillant sur des projets très proches du monde réel de l'entreprise. J'avais passé deux années à l'Université de Louvain-La-Neuve en sciences économiques, mais je n'avais pas l'impression de développer des connaissances très utiles. C'était très abstrait. L'auditorium était beaucoup trop grand et je me sentais juste un pion dans une multitude d’étudiants.
Que vous a apporté l’EPHEC ?
Très vite, j'ai réalisé que c'était le parcours exact pour moi, ce dont j'avais vraiment besoin. J'ai tout appris sur le marketing et j'ai pu comprendre la valeur de ce que j'apprenais. Il y avait beaucoup de projets pratiques liés aux entreprises et j'ai appris à travailler en équipe. Les cours se déroulaient en petites classes et en petits groupes, ce qui nous a permis d'interagir directement et constamment avec les professeurs, qui avaient tous une expérience professionnelle. Mon passage à l’EPHEC m’a aussi permis de retrouver confiance en moi-même et de développer mes compétences de communication et de leadership.
Votre meilleur souvenir de l’EPHEC ?
Sans aucun doute, nous avions un fantastique professeur de marketing qui faisait partie d'un groupe de musique et m'a fait aimer le cours et le marketing. Et aussi, les moments forts pour moi ont été tous les projets que nous avons dû présenter en groupes.
Si vous deviez résumer l’EPHEC en une phrase, vous diriez …
Meilleur apprentissage de travail en équipe, l’expérience professionnelle des enseignants et l’étroit contact avec le monde des entreprises.
Si c’était à refaire ?
Pas d'hésitation. Je le ferais à nouveau. Rejoindre l’EPHEC a été sans nul doute une de mes meilleures décisions.
Cédric Englebert
Managing Director, LogicalTIC
Cédric Englebert
Managing Director, LogicalTIC
"70% des membres de notre entreprise sont issus de l’EPHEC !"
Juin 2005, fraîchement diplômé, Cédric Englebert reçoit un coup de fil qui va fortement orienter sa carrière professionnelle. 15 ans plus tard, il est Managing Director de sa propre entreprise en informatique.
Qui est Cédric Englebert ?
Je suis papa de deux enfants, marié et entrepreneur. Je suis diplômé de l’EPHEC en Technologie de l’informatique.
Avec mon associé, également diplômé de l’EPHEC, nous avons créé LogicalTIC en 2010 et allons donc fêter les 10 ans de notre entreprise cette année.
Pourriez-vous nous retracer brièvement votre parcours professionnel depuis la fin de vos études à l’EPHEC ?
En juin 2005, fraîchement diplômé, j’ai reçu un appel d’un revendeur WinBooks souhaitant que je m’occupe de leur infrastructure Cloud. Il avait reçu mes coordonnées de la part de l’EPHEC.
J’y ai travaillé de 2005 à 2010 avec quelques mutations dans mes missions, pour finalement démarrer ma propre entreprise en 2010. Aujourd’hui nous avons 10 collaborateurs à temps plein qui travaillent pour et surtout avec nous. Et fait peu banal, 70% des membres de notre entreprise sont issus de l’EPHEC !
Pourquoi avez-vous choisi l’EPHEC pour vos études ?
Je me souviens encore de la publicité l’EPHEC Technologie de l’informatique dans le Trends, sûrement vers les années 1999-2000 avec deux jeunes assis près de la parabole à côté du cyclotron. Passionné d’informatique depuis mon plus jeune âge, c’était une évidence pour moi de suivre le cursus à l’EPHEC.
Que vous a apporté l’EPHEC ? Qu’avez-vous gardé de l’EPHEC et que vous appliquez peut-être encore aujourd’hui dans votre travail ?
Une rigueur et de la méthodologie. Le côté pluridisciplinaire est très important, surtout dans la section IT. Acquérir des connaissances en électronique, programmation, réseaux et systèmes permet de comprendre tout type de projet lié l’informatique.
Votre meilleur souvenir de l’EPHEC ? Auriez-vous une anecdote singulière ?
Disons que le coup de fil reçu en juin 2005 a clairement orienté ma carrière. Sans cet appel, je n’aurais certainement pas fait le même parcours et je ne serais peut-être pas devenu entrepreneur.
Si vous deviez résumer l’EPHEC en une phrase, vous diriez…
Un cursus qui suit les évolutions technologiques et est à l’écoute des retours des anciens élèves.
La plus grande force de l’EPHEC c’est…
Le côté pluridisciplinaire et la gestion de projets d’intégration, qui n’existait pas lors de mon cursus. Une belle évolution.
Si c’était à refaire ?
Oui, sans aucun doute !
Bruno Pairon
Senior Manager Tax, Deloitte
Bruno Pairon
Senior Manager Tax, Deloitte
« Il est crucial d’adopter une approche humaine et adaptée à chacun »
Bruno Pairon officie depuis près de 12 chez Deloitte Belgium. Il y est Senior Manager Tax pour la région « sud ». Un métier qui le passionne, lui qui se déclare spontanément « amoureux des chiffres ».
Pourriez-vous nous dire qui est Bruno Pairon ?
Je dirais un épicurien de 37 ans, marié et papa de deux petites filles dont il est très fier. J’ai quitté la capitale il y a dix ans pour rejoindre mon épouse dans la cité ardente.
Amoureux des chiffres depuis toujours et très tôt attiré par le droit dans mes études, la fiscalité s’est révélée au fil du temps comme un incontournable. Cet incontournable m’occupe aujourd’hui depuis près 12 ans au sein de la société Deloitte.
Pourriez-vous nous retracer brièvement votre parcours professionnel depuis la fin de votre passage chez nous ?
Mon parcours à l’EPHEC et les professeurs dont j’ai eu la chance de croiser le chemin m’ont donné l’envie de poursuivre mes études. J’ai donc décidé d’entamer une licence en droit à l’UCLouvain, après une année de passerelle, à l’époque hasardeuse.
En dernière année de licence, j’ai reçu une offre d’emploi de Deloitte où j’officie aujourd’hui encore en tant que Senior Manager, responsable, pour mon département, du déploiement dans la région sud du pays.
Pourquoi avez-vous choisi l’EPHEC pour vos études ?
Après avoir raté une première année en droit à l’ULB, principalement par manque de maturité, j’avais totalement perdu confiance en moi et en ma capacité à suivre des études de droit. J’ai alors entendu parler de l’EPHEC, du diplôme de graduat en droit et de ses nombreux débouchés professionnels. Mon choix était fait.
Que vous a apporté l’EPHEC ? Qu’avez-vous gardé de l’EPHEC et que vous appliquez peut-être encore aujourd’hui dans votre travail ?
Une approche humaine et adaptée à chacun. S’assurer de donner confiance aux personnes avec qui on travaille est essentiel pour leur permettre de donner le meilleur d’elles-mêmes. Convaincu que le « one size fits all » n’est pas la solution, j’adapte ma manière de gérer mes équipes au quotidien.
Votre meilleur souvenir de l’EPHEC ? Auriez-vous une anecdote singulière ?
Les anecdotes de Monsieur Papazoglakis qui parvenait à rendre un cours de droit constitutionnel/administratif non seulement intéressant mais également drôle à certains moments.
Si vous deviez résumer l’EPHEC en une phrase, vous diriez…
Des professeurs passionnés qui se coupent en quatre pour donner le meilleur d’eux-mêmes à leurs étudiants et les aider à accéder à l’environnement professionnel auquel ils aspirent.
La plus grande force de l’EPHEC c’est…
Sa structure organisationnelle couplée à sa dimension humaine.
Si c’était à refaire ?
Je n’hésiterais pas une seule seconde à revenir sur les bancs de l’EPHEC ! Peut-être en m’investissant davantage dans la vie estudiantine cette fois (sourire).
Erjon Qazimi
Digital Project Leader, Pirelli Tyres Benelux
Erjon Qazimi
Digital Project Leader, Pirelli Tyres Benelux
« Grâce à l’EPHEC, j’ai instauré des process qui, auparavant, n’existaient pas dans mon job actuel ! »
Après avoir obtenu son diplôme à l’EPHEC en E-business en 2016, Erjon complète sa formation par un post-graduat à la KU Leuven. Ce passionné de sport automobile et de digital, au franc parlé avéré, est aujourd’hui Digital Project Leader chez Pirelli Tyres Benelux. Voici son portrait, sans langue de bois !
Passionné de sport en général et du sport automobile en particulier, du digital et des nouvelles technologies, je suis constamment à la recherche de nouveaux challenges. Si je devais me décrire, je dirais que je suis quelqu’un qui adore l’humour, même sous la pression par exemple. Ça m’arrive aussi d’être un peu trop direct, trop franc… c’est généralement maladroit mais ça fonctionne bien dans certains cas uniquement (rire).
Après avoir obtenu mon diplôme à l’EPHEC et au sortir de mon stage dans une agence de communication spécialisée dans le digital, j’avais le sentiment qu’il me manquait quelque chose. Le monde digital est à la fois vaste et variable. J’ai donc effectué un post-graduat à la KU Leuven, afin de me mettre à jour dans le Paid Advertising et également peaufiner mes « connaissances digitales » en néerlandais. Ensuite, j’ai été engagé chez Pirelli Tyres Benelux, une multinationale leader dans les pneus « haut de gamme » et dans le sport automobile. Je m’occupe des nouveaux projets informatiques (site B2C & B2B & EDI), j’optimise les projets existants comme la création de la communauté (réseaux sociaux), la création d’actions marketing (sell-in / sell-out), e-mailing, monitoring ainsi que de la diffusion des communiqués de presse.
Premièrement l’EPHEC a une très bonne réputation. Je cherchais des études à la fois théoriques et à la fois pratiques, axées sur le concret. La comptabilité me plaisait bien, jusqu’à ce que je tombe sur le descriptif de la formation en E-business qui abordait la transformation digitale. Le descriptif m’a emballé. J’ai décidé de relever le défi et de suivre ces cours… et j’ai adoré dès les premières minutes.
L’EPHEC m’a apporté une polyvalence dans le monde du travail. Souvent nous sommes experts dans un domaine bien précis, mais la formation E-business nous apprend à être polyvalent, à utiliser tous les moyens de communication, penser de manière globale (360°) et à appliquer toutes les connaissances acquises dans le monde professionnel. Grâce à l’EPHEC, j’ai réussi à instaurer des process qui, auparavant, n’existaient pas dans mon job actuel.
Lors d’une rencontre avec un expert digital (lors d’un cours), je me rappelle que l’intervenant avait énoncé : « Nous travaillons là où d’autres s’amusent ». Pour moi, cette phrase, résume actuellement mon monde professionnel.
Fuyez pauvres fous ! Non je ris : L’EPHEC est un lieu d’apprentissage et d’échanges (professeurs / élèves) riche grâce à l’expérience de ses professeurs.
Premièrement, ce sont les multiples formations (jour / nuit) que l’EPHEC propose. Ensuite, la multiculturalité des élèves et la polyvalence des professeurs sont pour moi, une des plus grandes valeurs ajoutées.
Un grand « oui » ! D’ailleurs si des formations dans le digital se créent, je suis à l’écoute, car le monde digital ne fait qu’évoluer et l’EPHEC rassemble de gros experts digitaux qui nous permettent de mieux comprendre l’évolution digitale.
Harrison Dans
Collaborateur chez Clifford Chance, membre du barreau de Luxembourg
Harrison Dans
Collaborateur chez Clifford Chance, membre du barreau de Luxembourg
Bachelier en Droit en 2014, Harrison Dans a été engagé comme collaborateur chez Clifford Chance, un cabinet d’avocats anglo-saxon et membre du barreau de Luxembourg. Mais comment est-il arrivé à ces fonctions ?
Après quelques années chaotiques à l’ULB, Harrison arrive en 2ème année à l’EPHEC grâce au décret passerelles qui permet, dans certains cas, à un étudiant ayant réussi une première année à l’université, d’entrer directement en 2ème année en haute école. Il termine en 2014 et rejoint l'université de Maastricht pour y suivre un programme consacré au droit européen et international des affaires, il participe à un échange universitaire avec l'université McGill de Montréal et à un stage professionnel dans la société The Shift basée à Bruxelles.
Il complète ensuite sa formation par un diplôme de troisième cycle au Collège d'Europe en droit européen et rejoint le cabinet d'avocats luxembourgeois Arendt & Medernach. En mars 2018, il quitte son premier job et entre au cabinet d'avocats anglo-saxon Clifford Chance où il pratique le droit des affaires et financier à Luxembourg et conseille des clients dans les domaines de la gestion de portefeuille et des fonds d'investissement, notamment dans le secteur immobilier et de capital-investissement. Il est également membre du barreau de Luxembourg depuis juin 2019.
Quelle est votre plus belle réussite professionnelle ?
« C'est une question difficile, mais je suis néanmoins assez fier, je pense, de ma capacité à toujours croire en moi et en mes capacités, surtout dans les moments les plus difficiles. Une grande réussite professionnelle, à mon avis, c'est de trouver un emploi qui vous épanouit complètement et de pouvoir combiner efficacement votre vie privée et votre vie professionnelle, car aucun emploi ne mérite un burn-out. J'aspire modestement à atteindre cet objectif ».
Pourquoi avoir choisi l’EPHEC ?
« C'est à la suite d'un échec à l'ULB que j'ai décidé de rejoindre l'EPHEC dès ma deuxième année, et ce sous les conseils avisés de personnes qui étaient proches de moi et que je remercie beaucoup, car je ne regrette vraiment pas ce choix ».
Que vous a apporté l’EPHEC et qui vous est toujours utile actuellement ?
« L'EPHEC m'a donné le goût de la bonne organisation et du travail bien fait, et m'a beaucoup aidé à exprimer mes idées et à parler en public ».
Comment avez-vous vécu vos années « EPHEC ?
« Très sereinement. J'ai beaucoup grandi et gagné en maturité pendant mon séjour à l'EPHEC, notamment grâce à mes diverses rencontres avec les enseignants et les autres étudiants ».
Votre meilleur souvenir de l’EPHEC ?
« Le cours de droit administratif de Monsieur Lionel Renders, pas seulement pour la matière en tant que telle, mais surtout pour le professeur, l'homme».
Si vous deviez résumer l’EPHEC en une phrase, vous diriez…
« L'EPHEC c'est apprendre à travailler sérieusement sans se prendre au sérieux ».
Davy Lefevre
CEO chez Secundo Immo
Davy Lefevre
CEO chez Secundo Immo
Davy Lefèvre est diplômé en marketing de l'EPHEC, il a 42 ans et est papa de 3 enfants. Il est actuellement CEO chez SECUNDO Immo, leader belge de la vente de biens immobiliers neufs en Espagne.
Pourquoi avoir opéré plusieurs tournants à 360° pendant votre carrière ?
"Ce qui m'a toujours intéressé dans mes jobs c'est apprendre et apporter. Si l'une de ces deux "conditions" n'est plus au rendez-vous en dose suffisante, je préfère alors me lancer un nouveau challenge. Après plusieurs années dans de belles structures comme BNPP ou Partenamut où j'ai eu l'occasion de travailler sur de beaux projets stratégiques comme des fusions et cela au sein d'un comité de direction dynamique, il m'est apparu évident qu'il était temps que je lance une société de conseil et formation. L'idée était d'accompagner plusieurs projets au sein de sociétés clientes, ce qui allait me permettre de varier les missions où les enjeux étaient bien différents d'une société à l'autre.
Il y a bientôt deux ans maintenant, c'est un client qui m'a convaincu de rejoindre leur société après plusieurs mois de mission chez eux. Après quelques semaines de discussion, j'ai accepté!
Chacun de ces choix ont toujours été fait car la culture de l'entreprise correspondait à ma vision de ce qu'était du business bien fait avec une orientation client forte, ce fut encore le cas pour Secundo Immo".
Que vous a apporté l’EPHEC ?
"Une capacité à analyser et à dégager des pistes de solution innovantes et efficaces. Une vision très pragmatique dans les choix ou décisions à opérer.
L'EPHEC nous a aussi donné l'opportunité de travailler sur des business cases au plus proche du monde de l'entreprise et du marketing, ce qui nous mettait très tôt en contact direct avec la réalité professionnelle et son niveau d'exigence".
Votre meilleur souvenir de l’EPHEC ?
"Une défense de projet pour le lancement d'un produit sur le marché des seniors. Je pense que nous n'avions pas encore bien saisi à notre âge ce qu'était un senior...Pour nous à l'époque, c'était le segment "toute fin de vie"...Vous pouvez imaginer le genre de produit qu'on a défendu?! Ce fût je pense un des plus grands fou-rire d'auditoire. Je n'oubliera jamais la phrase d'un de mes potes de cours, Sébastien B, alors que nous avions déjà vu défiler 2, 3 groupes "Généralement, on est pas mauvais en impro et en s'en sort toujours bien mais là, c'est trop tard, c'est mort mec! "
Si vous deviez résumer l’EPHEC en une phrase, vous diriez…
"Une efficacité pédagogique au plus proche de l'entreprise qui permet de mettre directement la théorie en pratique".
La plus grande force de l’EPHEC c’est…
"La multitude de cours et TP dans le cursus qui abordent les nombreuses facettes de la gestion d'entreprise et pas que le marketing au sens strict. Beaucoup de domaines sont abordés et permettent de comprendre le microsystème d'une entreprise".
Si c’était à refaire ?
"La même chose, sans les blocus !"
Audrey Thiriar
Founder and Press Director, Tribe Agency
Audrey Thiriar
Founder and Press Director, Tribe Agency
Audrey Thiriar, diplômée en marketing en 2010, a créé son agence RP (Relations publiques) en 2017 : Tribe Agency, une agence spécialisée dans le Food. Découvrons son parcours.
En fin de bachelier, Audrey se passionne pour les relations publiques lors de son stage chez Sparkies. Son diplôme en poche, elle part un an en Australie pour améliorer son anglais et ses connaissances en marketing en réalisant un stage dans les bureaux du Club Med.
De retour en Belgique, elle fait quelques petits jobs dans la vente puis est rappelée par l’agence Sparkies, où elle a réalisé son stage et est engagée comme Press and Public Relations Assistant. Elle y reste pendant presque 3 ans puis continue à faire ses armes chez Top Secret Communication avant de créer sa propre agence : Tribe Agency, dédiée à son autre passion : la gastronomie.
L’EPHEC lui a apporté, nous dit-elle, les connaissances pratiques et une grande confiance en elle, deux éléments essentiels pour débuter dans le monde du travail.
Si elle devait résumer l’EPHEC en une phrase, elle dirait que c’est … une passerelle pratique et courte vers la vie active.
Et si c'était à refaire ? « J'irais directement à l’EPHEC et je ne "perdrais" pas une année dans une autre école comme j'ai pu le faire » nous confie-t-elle.
Vivian Huyberechts
Business Analyst & Project Manager, Fnac Vanden Borre
Vivian Huyberechts
Business Analyst & Project Manager, Fnac Vanden Borre
Nous avons virtuellement croisé Vivian Huyberechts, bachelier en e-Business et Business Analyst & Project Manager chez Fnac Vanden Borre. Il nous explique comment en deux ans il est arrivé à cette fonction et son ressenti par rapport à son parcours à l’EPHEC
En 2017 je termine l’EPHEC, un diplôme de bachelier e-business en poche ainsi qu’une multitude de compétences axées sur le digital, acquises au cours de ces trois années. Mon cursus s’achève par un stage enrichissant auprès d’une entreprise dans laquelle j’ai failli m’engager, je me décide toutefois à poursuivre mes études.
Désormais « accro » de l’apprentissage par le pratique, mon choix se porte naturellement sur un master en alternance, en Business Analyst à l’ICHEC et l’ECAM. Durant ces deux années, je réalise mon alternance au sein du département PMO chez Fnac Vanden Borre, où j’officie en tant que Business Analyst et Project Manager depuis le terme de mes études en juin 2019.
Avec le recul d’une seule première année d’expérience professionnelle, je dirais sans hésiter que ce sont mes deux stages dont je suis le plus fier.
En effet, l’objectif premier était de mettre en application mes compétences. Très vite, cela m’a plu et mon implication s’est muée en un réel engagement. En retour, les entreprises m’ont accordé leur confiance, avec à chaque fois une offre d’emploi à la clé. Ces propositions d’embauche m’ont permis de réaliser que j’avais une réelle valeur ajoutée, et ça… c’est très probablement le meilleur sentiment de réussite ressenti dans ma jeune carrière.
Après une première année d’étude en kinésithérapie, je réalise que ce métier ne sera pas le mien. Afin de ne pas réitérer l’expérience, je décide d’effectuer un coaching personnel dans le but de trouver le chemin qui me convient. L’e-business à l’EPHEC est une des options qui me sont proposées, visiblement ce choix fut le bon.
Sans hésiter, c’est la méthodologie et le sens de la réflexion face à des sujets complexes. Ne pas avoir peur de l’échec, mais au contraire l’apprivoiser pour en faire un des piliers de son succès.
A l’EPHEC, nous avons la chance d’assister à de nombreux cours donnés par des professeurs qui ont officié, ou officient toujours dans les métiers liés à la profession. Ces experts apportent leur vision à la théorie et l’alimentent d’expériences vécues.
Cela peut paraître anodin, mais ces cas concrets m’ont permis de me projeter, de m’auto évaluer et d’en ressortir presque « expérimenté ».
Probablement le projet e-commerce d’une PME que nous avons mis en place avec d’autres étudiants, dans le cadre de plusieurs cours conjoints. A la fin de notre présentation finale, je me souviens que les professeurs se sont regardés et l’un deux a dit : « Ça a de la gueule ! ». On avait beaucoup bossé sur ce projet et ce fut gratifiant de comprendre que nous avions dépassé leurs attentes.
Un cadre enrichissant et multiculturel, qui stimule l’apprentissage collaboratif autour de projets concrets.
Un grand merci Vivian pour ce retour d’expérience et bonne route !
Anthony Kukaj
Digital Marketing Leader - Lombard International Assurance
Anthony Kukaj
Digital Marketing Leader - Lombard International Assurance
Anthony Kukaj a 38 ans et est originaire de Bruxelles. Même s’il a l’impression que c’était hier, cela fait déjà quelques années qu’il a achevé son bachelier en Marketing en cours du soir à l’EPHEC.
Après un premier bachelier en Communications, il a décidé de réorienter sa carrière et reprendre des études à 30 ans, alors qu’il occupait à ce moment-là un poste de Sales Superviser chez Mobistar (aujourd’hui Orange). Son choix s’est directement porté vers le Marketing.
« J’ai toujours été passionné par ce métier et je m’intéressais particulièrement aux nouvelles opportunités offertes par le digital. J’avais par ailleurs déjà pris la décision de quitter la Belgique pour le Luxembourg. Avec un diplôme fraîchement obtenu en poche, j’étais prêt ! Je pilote actuellement la stratégie marketing digitale de Lombard International Assurance, leader européen depuis presque 30 ans en solutions patrimoniales fondées sur l’assurance-vie en unité de compte, couvrant plus de 20 marchés à travers l’Asie, l’Europe, l’Amérique latine et les États-Unis », nous confie-t-il.
Il a essentiellement choisi l’EPHEC pour sa très bonne réputation et son programme en cours du soir qui lui a permis de jongler entre son cursus et sa carrière. A l’EPHEC, il apprit à maitriser les rouages et les principes du marketing général, tout en abordant la réalité du terrain de par l’expérience de ses différents professeurs.
« Une expérience très enrichissante et formatrice, qui a permis, sans conteste, de donner un nouvel élan à ma carrière professionnel. Ce fût une véritable rampe de lancement, tant sur le plan professionnel que personnel. Ces 4 années passées à l’EPHEC ont largement façonné le professionnel que je suis devenu ».
« Il y en a tellement ! Mais je me rappelle plus particulièrement la remise des diplômes. C’était l’aboutissement de 4 années intenses rythmées quotidiennement par mon activité professionnelle, mes 3 heures de cours quotidiennes, mes révisions et les différents travaux. Une fierté mais aussi la certitude que de nombreuses portes allaient s’ouvrir à moi. »
« Vos efforts s’y transforment en grandes opportunités. »
« Je ne peux que parler de mon expérience en cours du soir mais la grande qualité des professeurs reste pour moi l’essentiel. Avoir des professeurs toujours actifs dans le monde du travail avec de vrais retours d’expérience est une incroyable plus-value. Il nous arrivait souvent de rester après le cours à discuter, à échanger sur nos propres expériences et à demander leurs conseils. »
« Sans hésiter ! Qui ne voudrais pas revivre ses 30 ans ?! :) »
Mike Vandenhooft
Managing Partner - Newpharma
Mike Vandenhooft
Managing Partner - Newpharma
« Les études en haute école étaient vraiment faites pour moi ! »
Rencontre avec un de nos anciens qui n’est autre que le cofondateur de la première pharmacie en ligne belge : Mike Vandenhooft.
Qui est Mike Vandenhooft ?
J’ai 43 ans et je suis sorti de l'EPHEC en 1998, avec un graduat marketing (option ventes) en poche. Fan de nouvelles technologies, le marketing digital a toujours été ma grande passion.
Ce n’est donc pas un hasard si j’ai cofondé Newpharma (www.newpharma.be) en 2008. Newpharma est la première pharmacie en ligne belge. Nous sommes également actifs commercialement à l’international, dont la France, les Pays-Bas ainsi que la Suisse où nous sommes très bien positionnés.
Quel a été votre parcours depuis votre passage chez nous ?
Une fois mon diplôme en poche, je me suis directement lancé comme indépendant en créant une agence de e-marketing qui s’appelait à l’époque 6MYK. Quelques années plus tard, notre agence s'est consacrée uniquement au référencement dans les moteurs de recherche : le référencement naturel (SEO) et l’achat de mots-clés (SEA). Elle a alors été rebaptisé 'Extenseo'. Cette activité d'une quinzaine de collaborateurs a été cédée fin 2005 à Belgacom Skynet (Proximus aujourd’hui).
Le lancement de Newpharma en 2008 avec 3 autres partenaires a marqué une nouvelle page dans ma vie professionnelle. Je passais finalement du côté des annonceurs. Le secteur du e-commerce m’a toujours passionné, en partie parce qu’il permet de mieux mesurer le retour de chaque action marketing.
Fin 2017, Colruyt Group et Korys (le ‘family office’ de la famille Colruyt) ont racheté 65% de nos parts. Après plus de 10 ans comme CMO, j'y suis toujours actif et actuellement responsable de la vision et du business development.
Pourquoi avez-vous choisi l’EPHEC pour vos études ?
L’EPHEC n’était pas mon premier choix. J’ai d’abord entamé une candidature en informatique à l'ULB mais cette expérience m'avait clairement dégoûté des énormes syllabi à l’époque. J'avais besoin de concret et de pratique. Je me suis alors rendu compte qu’un graduat correspondait mieux à mon profil d’apprentissage et à ma personnalité.
De plus, après réflexion, je me suis aussi aperçu que je devais me réorienter et me diriger vers du marketing et/ou du commercial. J’avais besoin de rencontrer des gens ouverts, dynamiques, drôles, etc.
Au vu de ce cheminement intérieur et de la réputation de l'EPHEC, le choix était assez évident.
Qu’avez-vous gardé de l’EPHEC et que vous appliquez peut-être encore aujourd’hui dans votre travail ?
L'EPHEC m'a apporté tous les aspects pratiques qui faisaient tant défaut à l’université. L'apprentissage y était beaucoup plus naturel et évident car majoritairement fondé sur des cas concrets. Ensuite, le côté "straight-to-the-point" ou "zero blabla" que j’apprécie particulièrement. C’est vraiment un trait qui me caractérise (fort) aujourd'hui.
Les cours de vente et de psychologie sont probablement ceux qui m'ont laissé le plus de bases pratiques que j'utilise encore dans la vie de tous les jours.
Enfin, le réseau EPHEC (amis ou business) est également quelque chose d'encore fort présent, même si j'avoue qu'il pourrait être davantage développé.
Votre meilleur souvenir de l’EPHEC ?
J’ai deux souvenirs fort différents qui me reviennent spontanément. Premièrement, la semaine de ski à Avoriaz organisée par le Cercle de l'EPHEC... Je pense qu'elle a marqué beaucoup d’étudiants (rire).
Et deuxièmement, mon stage chez Xerox qui fut très intéressant et qui m’a permis d’acquérir de bons réflexes commerciaux.
En termes d'anecdote, ce sont probablement les engueulades d'Alain Gilbert, à l'époque professeur de mathématiques, qui m'ont le plus marqué. Il paraît que je parlais trop (rire).
Si vous deviez résumer l’EPHEC en une phrase, vous diriez…
L'EPHEC, c'est le tremplin pratique vers le monde professionnel, avec le sourire.
La plus grande force de l’EPHEC c’est…
A l'époque, plusieurs choses m’avaient marqué : des locaux modernes, des camarades de classe ultra sympas et des professeurs accessibles et souvent issus du monde professionnel.
Si c’était à refaire ?
Je signe à deux mains ! Sans hésiter...
Quelque chose d’autre à rajouter ?
Je pense que l'EPHEC devrait davantage pousser les aspects liés à l’entrepreneuriat. Ouvrir l’esprit des étudiants en les sensibilisant à cette possibilité car elle est aussi une sorte de moteur de son indépendance professionnelle, en tout cas à mes yeux.